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Libre inspiration
4 mars 2008

Fanfiction Heroes, première partie

ah14

     Je commence (en force) avec le début donc, d'une fan fiction sur la série HEROES. Cet épisode, (qui sera divisé en plusieurs partie, pour vous évitez de lire trop à chaque fois démarre dans le contexte de la fin de la saison 1. Si vous avait bien suivi, cet épisode est une sorte de première épisode de la saison 2. Je précise que si vous avez pas vu cette série, ce n'est pas la peine de lire cet article.

Un dernier petit mot, merci de respecter mon texte même si il sagit d'une fanfiction et que se n'est pas du grand art. Bonne lecture.

"Etres Perdu"

Mohinder Suresh et Molly,  Manhattan.


L'endroit était noir, très sombre et humide. Un endroit parfois inquiétant et inconfortable, mais c'était le seul où ils étaient en sécurité. Un coint perdu de la ville, qui donnait sur les docks. C'est ici que Mohinder était venu se cacher pendant quelques temps avec Molly. Depuis que la bombe avait explosé dans les aires et non en ville, Mohinder savait que Sylar les chercheraient tout les deux. Car, il ne croyait pas à sa mort et les traces de sang allant à une bouche d'égout, sur la Kirby Plaza ne l'avait pas laissé longtemps dans le doute. Vu le pourvoir de Molly, il n'osait même pas imaginer combien de personne Sylar pourrait trouver et tuer pour s'emparer de leur pouvoir. Cette idée, ne lui plaisait pas du tout, et rien que de penser qu'on touche à Molly l'empéchait de dormir. Pourtant ce soir là, il avait réussi à fermer l'oeil.
Mais son sommeil était très agité. Ses yeux sautaient et ses mains étaient crispées. Des sueurs froides lui parcouraient le corps. Il tremblait, un cauchemar l'envahisait:

Rêve de Mohinder

Une voiture roule sur le boulevard, le moteur grogne, la voiture accélaire et roule de plus en plus vite. Mohinder est à l'intérieur au volant. La voiture accélaire encore, Mohinder ne contrôle plus du tout la vitesse et quelques secondes plus tard, la voiture tout entière. Elle continue à rouler à toute allure. Devant sur la route, une petite silhouette commence à ce dessiner peu à peu. La silhouette se décrit de plus en plus, mais elle reste plus que tout immobile. Des yeux noirs, sombres et pénétrant qui laisse suggérer le sourire satisfait et menaçant d'un homme apparaît, dans le rétroviseur. Cet air, il le connait bien, c'est celui de Sylar. Mohinder quitte des yeux le rétroviseur, paniqué. La silhouette devient très nette. Il reconnait ce visage familier. La voiture avance toujours, l'impacte ést inévitable, son coeur fait un tour. La voiture n'est plus qu'à quelques mètres du petit enfant. Molly.

-"Non!"
Mohinder se reveilla en sursaut, son front et ses joues perlaient. Son coeur battait à 100 à l'heure. Il sauta de son presque lit et couru, jusqu'à la petite pièce d'à côté où dormait Molly.
-"Molly, Molly...Molly!"
L'enfant se reveilla, aux sons des paroles de Mohinder.
-"Qu'est-ce qu'il y a Mohinder?"
Il poussa un long soupir de soulagement et s'empressa de la prendre dans ses bras. Il transpirait et avait le souffle court. ce cauchemar l'avait complètement bouleversé. Tous ses membres tremblaient. Il répondit à Molly péniblement.
-"Rien...rien, Molly."

Générique

Claire et Mr. Bennet, Odessa.

Le couloir était éclairé, la maison des Bennet essayait de s'endormir peu à peu. Des gémissements étouffés par un oreillet, s'échappait de la chambre de Claire. Des pleures qui allertairent son père, assit dans le canapé. Cela faisait quelques semaines que Peter et Nathan s'étaient envolés dans le ciel noir de New York. Mr. Bennet, voyait très bien que sa fille essayait de cacher ses sentiments. Qu'elle devait penser qu'ils étaient tous les deux quelque part aux Etats-Unis, qu'ils étaient vivant et n'attendaient que quelques temps avant de refaire surface. Peut-être est-ce une idée qui l'avait réconfortée, jusqu'à aujourd'hui. Mr Bennet frappa à la porte de la chambre de sa fille.
"Claire ? Est-ce que ça va?"
Claire s'arrêta de pleurer et autorisa son père à entrer. Mr Bennet entrouva la porte, sa fille avait les yeux pleins de larmes.
"Oh, excuse-moi papa, je ne voulais pas te déranger. Je croyais que tu dormais".
Son père grisé s'avanca vers elle et s'assit sur le lit. Il ne savais jamais quoi faire dans ses moments là. Il avait beau avoir été son père adoptif pendant des années, il n'arrêtait de ce dire qu'avec sa fille, il avait manqué beaucoup de choses. Comme justement essayer d'être plus présent dans ces moments ci. Car aujourd'hui, il saurait quoi faire. Il regarda simplement sa fille et lui carressa les cheveux.
"Tu penses à eux?"
Claire s'effondra sur les genoux de son père, elle éclata en sanglot.
"J'aimerai juste savoir, où ils sont. Plus les jours avancent, plus je me dis qu'ils..."
Elle s'arrêta un instant, comme si le fait de prononcer les mots qui allait suivre étaient une épreuve difficile.
"Sont peut-être mort. "
Son père lui dit aussitôt pour la réconforter:

"Non, il ne faut pas dire ça. Souvient-toi que Peter est comme toi, il a surement survécu et Nathan Petrelli... il a dû s'envoler plus loin au moment de l'explosion".
Le peu de paroles que son père prononca arrêtairent les larmes de Claire. Il lui pris la tête et la redressa pour pouvoir voir son visage et s'adressa à elle droit dans les yeux et lui dit:
"Claire écoute-moi je sais que je n'ai pas toujours été juste et honnête avec toi. Mais je te jure qu' à partir de maintenant, je ne laissera plus jamais quelqu'un te faire du mal.
-Merci. Euh, papa ça fait plusieurs jours que j'y réfléchis et..., j'aimerai partir à la recherche de Peter et Nathan. De toute façon, on a plus de d'amis, plus de vie et plus de maison, enfin plus de vrai maison. Vu les travaux qu'il reste à faire, ici.
Il y eu un long silence et Claire soupira avant de continuer.
Alors je me suis dis que plutôt qu' attendre. Aller à leur recherche, ça m'aiderai à avoir au moins un but... après ce qui s'est passé."
Claire crispa la machoir attendant la réaction de son père.
"De toutes façons, je ne vois pas ce qui pourrait t'en empécher". Lui dit-il dans un sourire. Claire attrapa son père et le serra fort dans ses bras.

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